If Britney could, I can too !
Vu sur Yahoo People (oui, j’avoue après avoir consulté les rubriques Monde et France je passe direct à la rubrique Peole) Britney affichait une taille fine le week-end dernier lors d'une virée shopping à Los Angeles. Un témoin a confié au New York Daily News : "Elle était au mieux de sa forme, elle était époustouflante ".
Eh bien voilà une nouvelle qui me réjouit à plus d’un titre.
Que les choses soient claires, les minauderies de la donzelle m’ont toujours agacée et je continue de zapper ses bluettes de post-adolescente peu farouche. Cependant, je vois dans l’info de Yahoo deux raisons de me réjouir :
Si mes sources sont fiables ; Britney a accouché d’un deuxième enfant en septembre. Sa ligne retrouvée signifierait donc que l’immonde graisse post-partum qui s’accroche au ventre, aux cuisses et aux hanches n’est pas une fatalité ? Peut-on rêver qu’elle puisse se faire la malle au prix de privations et de courbatures ? Du coup je caresse les espoirs les plus fous : perdre ces 7 kilos qui semblent avoir élu définitivement domicile entre mes côtes flottantes et mes genoux, pouvoir remonter plus haut qu’à mi-cuisses un pantalon en taille 40… Certes je ne dispose pas à demeure d’un cuistôt prêt à me concocter des mets savoureux et dépourvus de gras. Mais en cherchant bien, je suis sure que je peux trouver au fond de mon congel quelques aliments à moins de 500 calories les 100 grammes. Et puis allez, il faut que je me le remue ce popotin !
Deuxième point : je fus tout bonnement outrée de l’acharnement dont ont fait preuve les journaux à l’égard de Britney. Elle fut photographiée tout gras dehors, le make up en déroute ou à demi murgée. Son image de star déchue et de mauvaise mère a fait le tout du monde (mauvaise mère, tu parles ! jeune maman paumée plutôt – les mots jeune maman et paumée forment ici une redondance). Le comble de l’indécence paparazziesque fut atteint lors du fameux faux mouvement où elle manqua tout bonnement de flanquer son Jason dans le caniveau.
Ben moi, je vous le dis, pour se sortir d'un tel guêpier, il faut être autre chose qu'une pauvre écervelée. Qui eut cru que du fond du puits ou elle chut, elle put relever la tête ? (notez au passage l'allitération !). Bon, j'avoue être admirative de la renaissance du Phoenix... ce qui ne m'empêchera pas de zapper son prochain tube énervant.